La
ville a été fondée environs 3
siècles avant J.C., tour à tour nommée
Cularo, puis Gratianopolis, Graignovol, la ville finit
par acquérir son nom actuel au XIVe siècle.
La
ville compte 158 000 habitants (155
632 en 2009) et un peu plus de 451 000 avec
ses banlieues (688 000 en 2016).
Grenoble et ses environs représentent un peu
plus de 35% de la population de l'Isère (55%
en 2016).
En
février 1968, la ville de Grenoble s'est faite
connaître au monde entier en accueillant les
10e
jeux olympiques d'hiver. C'était la première
fois que ces jeux se déroulaient en France,
depuis ceux de Chamonix en 1924.
La
renommée de ces jeux fut amplifiée par
la performance des athlètes français,
et particulièrement de Jean-Claude Killy et
Marielle Goitschel. La France se classa troisième,
derrière la Norvège et l'URSS.
Le
dynamisme acquis par la ville ne s'est jamais démenti
depuis, et Grenoble regroupe 3 des principaux pôles
scientifique et technologique de France :
-
un pôle numérique et logiciel
-
un pôle biotechnologies
-
un pôle des nouvelles technologies de l'énergie.
Grenoble
est aussi un pôle "matière grise",
avec ses chercheurs, ses ingénieurs, et un
campus orienté vers les nouvelles technologies.
C.C.I.
Chambre
de commerce et d'industrie de Grenoble : la CCI et ses
établissements partenaires. Fournit diverses informations
concernant la création ou la reprise d'une entreprise,
la recherche de financement, le recrutement, etc.
CHU
Grenoble
Le Centre Hospitalier Universitaire de la ville.
Affiches
(Les)
Loisirs et service en Isère. Loisirs et temps libre.
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la découverte de nos Montagnes
Alpinisme, randonnées pédestres, raquettes,
ski de montagne dans la régio de Grenoble et plus
généralement, dans les Alpes.
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espace de découverte et d'aventure à vivre en famille,
pour els enfants et aussi les adultes, avec 2 tyroliennes
géantes permettant de survoler Grenoble !
AlpexpoCentre d'événements internationaux
économiques, culturels et sportifs de Grenoble,
organisateur de congrès, foires, salons, de manifestations
sportives, de grands spectacles et de concerts.
Allo
Ciné
Les salles de cinéma à Grenoble et les films
présentés.
La
préfecture de l'Isère se trouve dans un bâtiment
construit entre 1861 et 1866. Entre les fenêtres du premier
étage se trouvent les bustes de personnalités de l'histoire
grenobloise et dauphinoise : Bayard, Lesdiguières, Vaucanson,
Condillac, Stendhal, Barnave, Mounier...
Club
Alpin Français de l'IsèreClub
de sports de montagne à Grenoble - Activités
et vie du principal club de montagne de Grenoble et de l'Isère
: alpinisme, randonnées, VTT, ski, raquettes : altitude,
moyenne montagne... Et liste des refuges des massifs de
l'Oisans et Belledonne.
L'ancien palais
du Parlement du Dauphiné et l'hôtel de Lesguières
Hôtel de
Lesdiguières
Le
duc de Lesdiguières fit rebâtir l'ancienne
résidence des dauphins qui abritait la Trésorerie.
Elle était implantée contre un tronçon
de l'enceinte gallo-romaine. En 1719, le palais est racheté
par les consuls de Grenoble. Au cours du XIXe siècle,
la Préfecture partagera les locaux avec l'hôtel
de ville, jusqu'en 1867. Ce dernier utilisera les locaux
jusqu'en 1967.
Vue
de la résidence des dauphins, accolée aux
remparts
Situé
place St-André, classé aux Monuments historiques,
le bâtiment accueillait à l'origine le parlement
du Dauphiné, créé par Louis II, dauphin
de France et futur roi Louis XI. Il date de la fin du
XVe siècle pour sa partie la plus ancienne. Siège
du parlement
du Dauphiné jusqu'à la Révolution,
il fut palais de justice jusqu'en 2002. Le bâtiment
doit être rénové, et on prévoit
d'y installer des activités touristiques, universitaires,
commerciales et patrimoniales. Photos
Le
palais de justice, ancien parlement du dauphiné
vers 1840, et la statue de Bayard
Le
Palais de Justice, litho fin XIXe
Les
4 commères devant le palais de justice de Grenoble
par Diodore
Rahoult 1868 - Bibliothèque dauphinoise
Datail
de l'entrée principale de l'ancien palais de Justice.
La
cour intérieure de l'ancien palais de Justice.
L'ancien
Palais
du Parlement du Dauphiné, datant de la fin
du XVe siècle pour sa partie la plus ancienne.
De la révolution jusqu'en 2002, il fit fonction
de palais de Justice.
La
maison de François Marc, 22 rue Barnave est un hôtel particulier
construit pour François Marc, juge de la cour commune
puis conseiller du parlement, en 1490. Au-dessus de son
portail en arc brisé on peut voir un écu sculpté d'un
lion, symbolisant l'évangéliste Marc.
L'Hôtel
de Croÿ-Chanel et Pierre Bucher a été
restauré entre 2004 et 2009. C'est un des rares témoignages
d'une maison privée d'époque renaissance.
L'hôtel
possède deux corps de bâtiments d'architecture
et d'époques différentes.
L'hôtel
renaissance, édifié vers 1570, par Pierre Bucher,
procureur général du parlement et doyen de l'université
est situé dans la cour. Sa façade possède
de hautes fenêtres géminées, surmontées
d'un linteau sculpté, dont l'intérieur présente
un médaillon et des feuillages.
Sur
les deux faces latérales de la cour, on peut
voir un imposant encorbellement, rappelant un chemin
de ronde, soutenu par neuf consoles à volutes.
C'est
sur la rue que l'on peut admirer la très belle
façade XVIIIe de l'hôtel, édifiée vers 1760 pour François
Gallien de Chabons, conseiller du parlement.
Elle
s'élève sur 3 étages (plus étage
de service), et possède une entrée majestueuse,
flanquée de deux boutiques.
L'hôtel
de Sautereau-Amat, 10 rue Chenoise, construit vers 1500/1510
est représentatif
des
édifices de la fin du Moyen-Âge. Restaurée il y a une
vingtaine d'années, la demeure a retrouvé ses façades
d'origine, ses fenêtres à meneaux moulurées. On peut voir
d'étonnants personnages sur les culs-de-lampe sculptés
qui se trouvent dans le passage voûté sur croisées d'ogives.
La
maison Vaucanson est un hôtel particulier construit en
1632, par la famille d’Ornacieux, situé 8 rue Chenoise.
Ce qui frappe le visiteur, c'est d'abord le conraste de
couleur entre le gris de la pierre et l'enduit couleur
pastel de ses murs. Ce qui attire ensuite le regard, c'est
la découpe en ogive qui permet de découvrir
son escalier sur loggias orné de balustres de pierres.
C'est ici que vécut Jacques Vaucabson, le célèbre
créateur d'automates, à partir de 1717.
La
maison Vaucanson à Grenoble par D. Kopel
Hôtel
de Rabot, 17 rue Jean-Jacques Rousseau. Il a été
édifié aux XVIe et XVIIe siècles
pour les seigneurs de Rabot, conseillers et présidents
du parlement. Bien que d'aspect quelconque sur rue, il
a toutefois conservé une belle tourelle en encorbellement
gratifiée d'un élégant décor Renaissance, et d'une
niche surmontée d'un dais de style gothique flamboyant.
Un bel escalier à balustres de pierres orne la partie
XVIIème de l'ancien hôtel.
Porte
de l'hôtel Coupier de Maille (XVIIe) au n° 16
de la rue Jean-Jacques Rousseau. Au numéro 14 naquit l'écrivain
Henri Beyle, dit Stendhal
Le
CEA
Grenoble est l'un des centres de recherche du polygone.
On y consacre l'essentiel des recherches au développement
des nouvelles technologies, dans les domaines de l'énergie,
de la santé, de l'information et de la communication.
Des batteries électriques aux nanotechnologies en passant
par les matériaux et les biotechnologies, le CEA Grenoble
est à la pointe de la recherche technologique et participe
activement au transfert de ces connaissances vers l'industrie.
Photos
GIANT,
Grenoble Innovation for Advanced New Technologies (Diaporama
6')
A
côté de Grenoble, sur les communes de Meylan
et Montbonnot, s'est installée la technopole d'Inovallée,
avec 350 entreprises (Vidéo, en français
4')